J’ai encore en souvenir ma grand-mère, une femme de tête qui avait passé plus de 50 ans avec son mari. Je la revois à l’hôpital où son mari est en soins intensifs. Il nous supplie de l’aider à partir car il souffre trop. Les médecins ne veulent pas le mettre sous morphine de peur, disent-ils, qu’il ne meure. Or, il est DEJA mourant ! Aberration d’un système médical qui se protège avant de penser au confort du patient...