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Psychothérapie

  • l'EFT (Emotional Freedom Technique) expliqué!

    L'Emotional Freedom Technique (EFT) fait partie des psychothérapies énergétiques qui apportent aux personnes un apaisement de leurs problématiques et surtout une réelle au autonomie.

    Voici un article qui explique très bien l’apport des psychothérapies énergétiques dont est issue l’EFT.

    Psychothérapies énergétiques

    Bref extrait ci-après :

    "Qu’est-ce que la psychologie énergétique ?

    La psychologie énergétique décrit un ensemble d’interventions psychologiques inédites qui «équilibrent, restaurent et améliorent le fonctionnement humain en stimulant le système énergétique subtil humain», qui comprend le système méridien d’acupuncture, les chakras et les nadis. «Ces techniques ont été utilisées pour catalyser des changements rapides, profonds et durables dans les sentiments, les croyances, les états mentaux et les comportements», ainsi que dans la physiologie et la biochimie.
    Ainsi, les techniques de psychologie énergétique impliquent de «stimuler l’énergie, que ce soit par le tapotement, le toucher ou l’intention»[1]...

    ...Le principe de l’EFT consiste à taper à plusieurs reprises une sélection de points d’acupuncture tout en restant à l’écoute des ressentis (et même des couleurs et des textures) du corps qui proviennent d’une mémoire particulière, d’une émotion désagréable ou d’un vieux traumatisme. L’idée est de diminuer l’intensité de la sensation aussi proche de zéro (sur une échelle de zéro à dix) que possible, zéro étant la résolution complète (pas de charge émotionnelle) et dix étant l’intensité maximale...

    ...

    Des résultats époustouflants :

    En 2003, une étude scientifique du psychologue australien Dr Steven Wells et al. a détaillé le succès phénoménal de l’utilisation de l’EFT pour traiter les phobies diagnostiquées cliniquement chez les petits animaux tels que les serpents, les araignées, les chauves-souris et les souris. L’intensité pré-EFT des phobies chez les humains a été mesurée en tenant compte de plusieurs facteurs : l’augmentation de la fréquence du pouls tout en contemplant l’objet craint ; le nombre de pas qu’ils pouvaient faire vers la créature crainte ; des questionnaires écrits sur le stress. Les sujets ont ensuite été informés pendant une demi-heure sur la méthode de traitement, y compris une brève séance d’EFT.


    Les sujets ont ensuite fait tester à nouveau leurs phobies. A chaque mesure, la peur avait chuté de façon spectaculaire, et certains sujets pouvaient même marcher jusqu’aux animaux qui déclenchaient normalement des réactions phobiques.»

    (site exportail.com)

  • Estime de soi, confiance en soi et acceptation de soi : une dynamique circulaire

    Estime de soi, confiance en soi, assertivité ou acceptation de soi : nous sommes parfois perdus dans des concepts proches qui recouvrent des aspects très différents.

    L'estime de soi est en effet liée au jugement positif ou négatif que je porte sur moi. Ce jugement se construit à partir de l'amour plus ou moins inconditionnel que j'ai reçu de mon environnement familial et éducatif et des modèles que j'ai adoptés. Plus mon "Idéal du moi", mon modèle, est parfait, plus l'écart entre ce que je suis et ce modèle est grand, plus mon estime de moi est défaillante. Bonne nouvelle : l'estime de soi peut se restaurer notamment en travaillant sur soi !

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  • La double contrainte : si vous aimez, n'aimez pas

    Double contrainte, double lien, double entrave, double bind, double injonction, injonction paradoxale… Les expressions sont nombreuses pour qualifier des situations qui nous laissent souvent hagards et les bras ballants.

    Définition

    Issue des travaux de Grégory Bateson (1956) -qui posera les fondements des thérapies familiales et systémiques- la double contrainte désigne 2 messages ou 2 ordres contradictoires. On ne peut satisfaire l’un sans contrevenir au second. Ainsi, quelle que soit la réaction de celui qui les reçoit, il est forcément perdant.

    Pour l’illustrer, on cite souvent l’histoire de cette mère qui offre à son fils 2 cravates, l’une bleue, l’autre rouge. Pour recevoir sa mère quelque temps plus tard, le fils va mettre la cravate rouge ce qui lui vaudra d’entendre « Tu n’aimes pas la cravate bleue ! ». Le week-end suivant, pour lui faire plaisir, il met la cravate bleue et sa mère lui dit « Tu n’aimes donc pas la cravate rouge ! ». Il est donc toujours « perdant »

    La difficulté vient du fait que les messages antinomiques sont sur des plans différents : explicites et/ou implicites, verbaux et/ou non verbaux. Par exemple, un parent dit : « fais moi plaisir en étant brillant à l’école » mais le non verbal (ton, mimiques) indique que si l’enfant le dépasse, il en sera malheureux.

    On distingue la double contrainte de l’injonction paradoxale dans laquelle un seul ordre contient en lui-même sa propre contradiction. Exemple : « soyez spontané ! » car la spontanéité ne se décide pas, « Sois grand, mon petit » ou comme le propose A. Watzlawick « Ignorez ce panneau ».

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  • Le génogramme : outil en psychogénéalogie et parfois en constellations familiales

    arbre torduLe génogramme est la représentation visuelle de l’arbre familial. C'est l'outil de prédilection de la psychogénéalogie et de la thérapie familiale systémique. Il va bien au-delà de l’arbre généalogique conventionnel qui s’attache aux prénoms et noms, aux dates (de naissance, de mariage, de décès). Il intègre toutes les informations importantes sur chacun (accidents, maladies graves, professions,...) ainsi que les événements de vie douloureux (guerre, immigration, spoliation, faillite, abus sexuels, rôle pendant la guerre, enfants adultérins, etc.). Des codes sont utilisés pour représenter des hommes (carrés), des femmes (cercles), des liens de mariage, des séparations (double trait sur le lien), etc. et l’utilisation de la couleur permet de surlligner les similitudes de dates, de métiers, les événements traumatisants pour le clan, la place dans la fratrie, etc.

    La représentation visuelle permet rapidement de repérer les schémas de répétition, les loyautés invisibles, les messages cachés dans les prénoms, les adresses, les professions bien souvent réparatrices et les dynamiques à l’oeuvre en terme de constellations familiales.

     

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  • Empathes : des coeurs sur pattes!

    Les empathes sont arrivés dans ce monde en se demandant s’ils ne s’étaient pas trompés de planète! Ils ont du coeur. La souffrance des autres, la violence, les conflits, la cruauté envers les animaux ou les plus faibles, le manque de délicatesse, d’écoute et de compréhension constituent de grandes souffrances pour les empathes. Ils ont à coeur d’aider les autres, de rendre service, de soutenir les plus faibles. Or, il peut y avoir un grand décalage entre les valeurs qui sont les leurs et celles qu’ils observent chez les autres humains. La jalousie, l’envie, la moquerie, la" normalité sociale » dès lors qu’elle va à l’encontre de leur coeur, la sexualité débridée, la mode décadente, la musique déjantée, etc. ne riment pas avec la beauté, la bienveillance, le respect, la compassion qui animent ces êtres empathiques.

    Il leur faudra apprendre à poser de justes limites, à se protéger énergétiquement car ils ont tendance à être des éponges émotionnelles, à faire preuve de discernement pour ne pas être abusés. Voir à ce titre l’article sur les empathes face aux narcissiques

    Il leur faudra reconnaître leur propre valeur qui a souvent été moquée et dégradée et surtout faire preuve de discernement en écoutant leur coeur qui saura les guider vers les personnes et les situations qui leur conviennent et aussi les tenir éloignés des personnalités toxiques.

    Il leur faudra apprendre à s’aimer eux-mêmes et à n’aider que ceux qui le leur demandent, dans le respect de la loi du libre arbitre et de la loi du consentement.

    En effet, porter la souffrance de l’autre ne l’aide en rien et surtout le prive de la leçon de vie qui lui était proposée.

  • Qu'est-ce que la psychogénéalogie?

    La psychogénéalogie rassemble tout ce qui a trait aux « vieilles histoires de famille » sur plusieurs générations : dates anniversaires, secrets, traumatismes familiaux, situations irrésolues, cachées, etc…

    Et là, les motivations sont variées voire contradictoires :

    • soit chercher à savoir quels secrets familiaux se cachent dans l’arbre ;
    • soit craindre d’exhumer un fantôme du placard ;
    • soit chercher à connaître l’histoire de sa famille, rassembler les éléments connus pour comprendre les éléments inconnus, manquants, occultés et permettre ainsi de se situer dans l’arbre familial ;
    • soit reconstituer, par curiosité, l’histoire passée sans faire de lien avec sa propre histoire de vie.

    La personne qui consulte a une démarche active puisqu’elle doit recueillir des informations sur ses ascendants, notamment en interrogeant les personnes encore en vie. Il convient toujours d’être prêt à accueillir ce qui peut émerger de l’étude de son arbre et d’aborder avec respect et discernement les situations vécues par nos ancêtres. Le travail en psychogénéalogie peut être émotionnellement bousculant d’où l’importance d’être accompagné dans un cadre thérapeutique sécurisant, permettant l’intégration de certaines découvertes conscientes, pourtant présentes au niveau inconscient.

    La psychogénéalogie doit beaucoup à Anne Ancelin Shützenberger et plus particulièrement à ses travaux sur le syndrome anniversaire, c’est-à-dire la répétition autour de dates d’évènements (de décès, d’anniversaires, de mariage..). Il s’agit de prendre en compte les informations généalogiques disponibles (métiers, niveau social, maladies, accidents, histoires sentimentales..) le passé et le passif familial, les histoires de famille. Cela permet de situer l’origine de difficultés, de blocages, de mal-être… à partir d’informations : prénoms, dates, et autres évènements importants de l’histoire de la famille.

    Cela permet d’aboutir à l’élaboration d’un génogramme, que j’appelle arbre généalogique « intelligent », qui intègre les éléments factuels de chaque membre de la famille. Il met rapidement en lumière les similitudes, reproductions, syndromes anniversaires, etc et permet de travailler sur la libération des loyautés familiales limitantes. Il permet aussi de tirer toute la force des atouts de son « arbre ».