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A partir du 16 septembre 2018, je transfère toute mon activité de blog vers mon site www.sylviebergeron.frdans la rubrique ACTU. Ce blog-ci a vu le jour en 2008 et une nouvelle structure s’impose désormais pour que les informations concernant mon domaine d’intervention et de transmission soit plus accessibles. C’est désormais chose faite. Inscrivez-vous sur la NEWSLETTER de mon nouveau site (bouton vertical à GAUCHE) pour continuer à me suivre.
Je ne pouvais pas rester silencieuse suite à l’adoption de la Loi Shiappa par l’assemblée nationale, en plein mois d’août 2018.
Certes les Français ont besoin de repos. Bercés par un élan patriotique de post coupe du monde, il a été bien facile de les détourner de ce qui se jouait en coulisses, loin de leurs yeux.
Cette Loi Shiappa supprime l’âge minimum pour qualifier le viol sur mineur et surtout elle impose à l’enfant d’apporter la preuve qu’il n’y pas eu consentement sexuel. Ce sera au juge de faire la lumière sur la capacité de discernement de l’enfant sur ce qu’il se passait.
Une libération des mémoires et une ouverture de conscience
La respiration holotropique, ou hyperventilation circulaire, permet d’accéder à des états modifiés de conscience qui favorisent l’émergence de mémoires inconscientes, lesquelles influent sur nos comportements et notre façon d’appréhender le monde.
Ces mémoires peuvent être de plusieurs ordres :
Biographique : évènements chargés d’émotions survenus depuis notre naissance ;
Périnatal : vécu de notre naissance en fonction des stades qui ont été marquants pour le bébé ;
Transpersonnel : accès à des mémoires collectives, archétypales, à des vies passées, au microcosme ou au macrocosme, etc.
Selon S. Grof, cette approche permet de transcender les limites du « corps-ego » et de récupérer notre pleine identité.
Les raisons sont nombreuses de vouloir consteller : trouver sa juste place, finaliser un deuil (fausse-couche, avortement, etc), se libérer d’un abus sexuel, améliorer ses relations, se libérer de schémas de répétition d’échec, (re)trouver du goût à la vie, lever les freins à sa réussite professionnelle et à l’abondance, trouver sa voie professionnellement, etc. Voir à ce sujet, mon article: Les 10 bonnes raisons de consteller et les 3 erreurs à éviter.
Cette démarche de pacification se place au-delà d’une compréhension intellectuelle des raisons de mes problématiques et d’une dimension égotique. Elle invite à reconnaître et à se soumettre aux lois de la vie et aux lois de l’Amour qui rendent libre.
L'Emotional Freedom Technique (EFT) fait partie des psychothérapies énergétiques qui apportent aux personnes un apaisement de leurs problématiques et surtout une réelle au autonomie.
Voici un article qui explique très bien l’apport des psychothérapies énergétiques dont est issue l’EFT.
La psychologie énergétique décrit un ensemble d’interventions psychologiques inédites qui «équilibrent, restaurent et améliorent le fonctionnement humain en stimulant le système énergétique subtil humain», qui comprend le système méridien d’acupuncture, les chakras et les nadis. «Ces techniques ont été utilisées pour catalyser des changements rapides, profonds et durables dans les sentiments, les croyances, les états mentaux et les comportements», ainsi que dans la physiologie et la biochimie. Ainsi, les techniques de psychologie énergétique impliquent de «stimuler l’énergie, que ce soit par le tapotement, le toucher ou l’intention»[1]...
...Le principe de l’EFT consiste à taper à plusieurs reprises une sélection de points d’acupuncture tout en restant à l’écoute des ressentis (et même des couleurs et des textures) du corps qui proviennent d’une mémoire particulière, d’une émotion désagréable ou d’un vieux traumatisme. L’idée est de diminuer l’intensité de la sensation aussi proche de zéro (sur une échelle de zéro à dix) que possible, zéro étant la résolution complète (pas de charge émotionnelle) et dix étant l’intensité maximale...
...
Des résultats époustouflants :
En 2003, une étude scientifique du psychologue australien Dr Steven Wells et al. a détaillé le succès phénoménal de l’utilisation de l’EFT pour traiter les phobies diagnostiquées cliniquement chez les petits animaux tels que les serpents, les araignées, les chauves-souris et les souris. L’intensité pré-EFT des phobies chez les humains a été mesurée en tenant compte de plusieurs facteurs : l’augmentation de la fréquence du pouls tout en contemplant l’objet craint ; le nombre de pas qu’ils pouvaient faire vers la créature crainte ; des questionnaires écrits sur le stress. Les sujets ont ensuite été informés pendant une demi-heure sur la méthode de traitement, y compris une brève séance d’EFT.
Les sujets ont ensuite fait tester à nouveau leurs phobies. A chaque mesure, la peur avait chuté de façon spectaculaire, et certains sujets pouvaient même marcher jusqu’aux animaux qui déclenchaient normalement des réactions phobiques.»