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psychogénéalogie

  • Le génogramme : outil en psychogénéalogie et parfois en constellations familiales

    arbre torduLe génogramme est la représentation visuelle de l’arbre familial. C'est l'outil de prédilection de la psychogénéalogie et de la thérapie familiale systémique. Il va bien au-delà de l’arbre généalogique conventionnel qui s’attache aux prénoms et noms, aux dates (de naissance, de mariage, de décès). Il intègre toutes les informations importantes sur chacun (accidents, maladies graves, professions,...) ainsi que les événements de vie douloureux (guerre, immigration, spoliation, faillite, abus sexuels, rôle pendant la guerre, enfants adultérins, etc.). Des codes sont utilisés pour représenter des hommes (carrés), des femmes (cercles), des liens de mariage, des séparations (double trait sur le lien), etc. et l’utilisation de la couleur permet de surlligner les similitudes de dates, de métiers, les événements traumatisants pour le clan, la place dans la fratrie, etc.

    La représentation visuelle permet rapidement de repérer les schémas de répétition, les loyautés invisibles, les messages cachés dans les prénoms, les adresses, les professions bien souvent réparatrices et les dynamiques à l’oeuvre en terme de constellations familiales.

     

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  • Qu'est-ce que la psychogénéalogie?

    La psychogénéalogie rassemble tout ce qui a trait aux « vieilles histoires de famille » sur plusieurs générations : dates anniversaires, secrets, traumatismes familiaux, situations irrésolues, cachées, etc…

    Et là, les motivations sont variées voire contradictoires :

    • soit chercher à savoir quels secrets familiaux se cachent dans l’arbre ;
    • soit craindre d’exhumer un fantôme du placard ;
    • soit chercher à connaître l’histoire de sa famille, rassembler les éléments connus pour comprendre les éléments inconnus, manquants, occultés et permettre ainsi de se situer dans l’arbre familial ;
    • soit reconstituer, par curiosité, l’histoire passée sans faire de lien avec sa propre histoire de vie.

    La personne qui consulte a une démarche active puisqu’elle doit recueillir des informations sur ses ascendants, notamment en interrogeant les personnes encore en vie. Il convient toujours d’être prêt à accueillir ce qui peut émerger de l’étude de son arbre et d’aborder avec respect et discernement les situations vécues par nos ancêtres. Le travail en psychogénéalogie peut être émotionnellement bousculant d’où l’importance d’être accompagné dans un cadre thérapeutique sécurisant, permettant l’intégration de certaines découvertes conscientes, pourtant présentes au niveau inconscient.

    La psychogénéalogie doit beaucoup à Anne Ancelin Shützenberger et plus particulièrement à ses travaux sur le syndrome anniversaire, c’est-à-dire la répétition autour de dates d’évènements (de décès, d’anniversaires, de mariage..). Il s’agit de prendre en compte les informations généalogiques disponibles (métiers, niveau social, maladies, accidents, histoires sentimentales..) le passé et le passif familial, les histoires de famille. Cela permet de situer l’origine de difficultés, de blocages, de mal-être… à partir d’informations : prénoms, dates, et autres évènements importants de l’histoire de la famille.

    Cela permet d’aboutir à l’élaboration d’un génogramme, que j’appelle arbre généalogique « intelligent », qui intègre les éléments factuels de chaque membre de la famille. Il met rapidement en lumière les similitudes, reproductions, syndromes anniversaires, etc et permet de travailler sur la libération des loyautés familiales limitantes. Il permet aussi de tirer toute la force des atouts de son « arbre ».

  • Constellations Familiales - Quesako ?

    Vivre une constellation familiale que ce soit en tant que "représentant" ou "constellé" constitue une des expériences les plus sacrées qu'il m'ait été donnée de vivre. 

    Mises en œuvre depuis plus de 20 ans, les constellations familiales doivent beaucoup à Bert Hellinger et aux thérapies familiales et systémiques. Depuis quelques années, elles sont utilisées en thérapie de groupe et dans le monde des entreprises. Elles révèlent que le système a ses propres règles qui n’ont rien à voir avec la morale ou les valeurs individuelles.

    Prochaines constellations à Montauban le 18 juin et à Villamblard (près de Bergerac et Périgueux) le 19 juin 2016. Pour s’inscrire, cliquez sur : site

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  • Le culte de ses ancêtres. Et si ça avait toujours du sens ?

    Autrefois, et même encore aujourd’hui dans certaines tribus, les vivants honoraient leurs ancêtres chaque jour. En France, il nous reste la Toussaint. Pour certains, c’est un rituel que d’aller sur les tombes familiales, de les désherber et d’y déposer un pot de fleurs et éventuellement d'y prier. Le sens que chacun y met est variable : sens du devoir, fidélité, obligation sociale, culte religieux, nostalgie…

    Pourtant, reconnaître ses ancêtres reste d’actualité car nos ancêtres nous habitent, nous animent et tapent à la porte de nos inconscients s’ils se sentent exclus. Toute exclusion du clan familial porte en elle la graine de la malédiction. Comme le dit B. Hellinger « Nul ne peut être exclu du clan ! ».

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  • Notre prénom - première valise transgénérationnelle !

    Au delà de la légende familiale, qui vous explique comment votre prénom a été choisi et par qui, la symbolique du prénom est porteuse de messages inconscients que le clan assigne à son descendant.

    Le prénom parle alors de vécus de nos ancêtres, de missions de réparation, de projets parentaux et de propositions de pacification.

    Refuser de porter son prénom est donc porteur de sens. S'agit-il d'un refus de montrer son identité ? Et dans ce cas, en quoi est-ce difficile de se dévoiler dans ce clan ? S'agit-il de refuser la mission confiée par le clan ? S'agit-il de ne pas entendre le message que le clan souhaite mettre en évidence ?

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  • Un film bouleversant : "deux jours à tuer"

    La bande annonce du film m'avait évoqué les remises en cause typiques de l'homme de la quarantaine qui démarre une crise du milieu de la vie. En effet, au sommet de sa réussite sociale et professionnelle, Antoine Miliot (alias Albert Dupontel) envoie tout balader et part retrouver son père parti quant il avait 13 ans.

    Et puis non finalement, plus qu'une crise de milieu de la vie, il s' agit d'une crise de vie tout court car il s'agit bien là de mourir à quelque chose pour aller vers autre chose. En renouant avec le passé, en reproduisant au besoin certains schémas d'abandon...

    Trop en dire vous priverait du plaisir de vivre un moment d'émotion.
    J'ai quitté la salle sans voix, les yeux humides et le coeur bouleversé.

    A voir absolument...