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Suite à mon dernier message, vous avez été plusieurs à me poser des questions pour suivre la Formation aux constellations familiales qui démarre samedi 10 mars 2018. J'y réponds ci-dessous.
Voici un récent témoignage d’une de mes stagiaires 2017 à la formation :
"Je n'imaginais pas en m'inscrivant à la formation, faire un chemin pareil, quelle belle surprise. La découverte des constellations auprès de Sylvie, m'a ouvert de très belles portes et m'a permis des prises de consciences positives et un regard différent sur mon clan. Le groupe s'est nourri des parcours de chacun, sans aucun jugement et dans un respect toujours bienveillant, avec l'accompagnement attentif et constructif de Sylvie. Merci encore pour cette si belle aventure. » Aline T.
Les nouveaux stagiaires 2018 commencent à s’inscrire à la formation de constellations familiales et l’effervescence bat son plein. Il reste encore quelques places pour vous inscrire jusqu’au 20 février. Après, il sera peut-être trop tard !
Uniquement pour les personnes intéressées par la formation :
Planifiez votre rendez-vous, pour ceux/celles que je ne connais pas ! (petits curieux s'abstenir)...
restaurer la confiance en vous et en votre partenaire?
mieux vous connaître et mieux comprendre le sens de votre relation?
avoir envie de vous investir différemment dans votre couple?
dépasser une crise, un conflit?
vous épanouir davantage dans cette relation?
Si vous avez répondu OUI à l’une de ces questions, alors ce stage est fait pour vous ! Cliquez ci-après pour imprimer le flyer sur le site www.choisirdetresoi.com
Voilà une dernière étude de cas et cette série d’échanges touchent bientôt à sa fin. C'est un moment de partage qui se fermera pour s'ouvrir, pour certain(e)s, sur une formidable aventure d'un an avec la formation aux constellations familiales que j’anime en Dordogne. Je me réjouis déjà de vous accueillir personnellement dès mars 2017 :-).
En parlant de ça, j'ai oublié de vous dire que la formation est accessible en 9 mensualités confortables. Pour celles et ceux dont le coeur vibre pour cette aventure, votre rêve est à 2 doigts de devenir réalité.
Pour les autres, ce n'est pas encore fini ;-) ! Je vous offre une dernière étude de cas sur "Comment prendre sa juste place dans la vie lorsque la mère a failli mourir en donnant la vie ».
Et oui, perdre un enfant avant sa naissance a des conséquences !
J’espère que la première étude de cas sur dyslexie et l’immigration vous a plu. Voici une autre situation que j’aborde avec beaucoup d’empathie car il s’agit des fausses-couches. En général, l’enfant de la fausse-couche est attendu par ses parents. Il commence par conséquent à compter avant même de naître.
Étude de cas express : l’importance des fausses-couches.
Renée (prénom fictif) ne trouve pas sa place, ni au travail, ni dans sa fratrie. Plusieurs postes lui sont passés sous le nez et elle n’a pas su se mettre en avant pour se donner une chance d’évoluer. Elle se sent inutile, comme si elle n’avait pas le droit d’exister.
La psychogénéalogie rassemble tout ce qui a trait aux « vieilles histoires de famille » sur plusieurs générations : dates anniversaires, secrets, traumatismes familiaux, situations irrésolues, cachées, etc…
Et là, les motivations sont variées voire contradictoires :
soit chercher à savoir quels secrets familiaux se cachent dans l’arbre ;
soit craindre d’exhumer un fantôme du placard ;
soit chercher à connaître l’histoire de sa famille, rassembler les éléments connus pour comprendre les éléments inconnus, manquants, occultés et permettre ainsi de se situer dans l’arbre familial ;
soit reconstituer, par curiosité, l’histoire passée sans faire de lien avec sa propre histoire de vie.
La personne qui consulte a une démarche active puisqu’elle doit recueillir des informations sur ses ascendants, notamment en interrogeant les personnes encore en vie. Il convient toujours d’être prêt à accueillir ce qui peut émerger de l’étude de son arbre et d’aborder avec respect et discernement les situations vécues par nos ancêtres. Le travail en psychogénéalogie peut être émotionnellement bousculant d’où l’importance d’être accompagné dans un cadre thérapeutique sécurisant, permettant l’intégration de certaines découvertes conscientes, pourtant présentes au niveau inconscient.
La psychogénéalogie doit beaucoup à Anne Ancelin Shützenberger et plus particulièrement à ses travaux sur le syndrome anniversaire, c’est-à-dire la répétition autour de dates d’évènements (de décès, d’anniversaires, de mariage..). Il s’agit de prendre en compte les informations généalogiques disponibles (métiers, niveau social, maladies, accidents, histoires sentimentales..) le passé et le passif familial, les histoires de famille. Cela permet de situer l’origine de difficultés, de blocages, de mal-être… à partir d’informations : prénoms, dates, et autres évènements importants de l’histoire de la famille.
Cela permet d’aboutir à l’élaboration d’un génogramme, que j’appelle arbre généalogique « intelligent », qui intègre les éléments factuels de chaque membre de la famille. Il met rapidement en lumière les similitudes, reproductions, syndromes anniversaires, etc et permet de travailler sur la libération des loyautés familiales limitantes. Il permet aussi de tirer toute la force des atouts de son « arbre ».