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Sylvie Bergeron - Psychothérapie et constellations - Page 8

  • Se former aux constellations familiales en 2018

    Les nouveaux stagiaires 2018 commencent à s’inscrire à la formation de constellations familiales et l’effervescence bat son plein.  Il reste encore quelques places pour vous inscrire jusqu’au 20 février. Après, il sera peut-être trop tard ! 

    Uniquement pour les personnes intéressées par la formation :

    Planifiez votre rendez-vous, pour ceux/celles que je ne connais pas ! (petits curieux s'abstenir)...

    Voici quelques témoignages de stagiaires :

     

    --> 1. Je planifie mon rendez-vous de candidature

    --> 2. Je remplis mon bulletin d’inscription Bulletin d’inscription

    --> 3. Je réserve ma place en retournant le bulletin par courrier (Bulletin d’inscription Formation Constel 2018.pdf) et j’imprime le programme en cliquant sur ce lien Programme

     

    Je me sens très enthousiaste de revivre cette aventure avec d’autres êtres en recherche d’évolution personnelle et éventuellement professionnelle.

    Alors, à très vite.

    Chaleureusement.

    Sylvie

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  • Redonnez de l’impulsion à votre couple - Stage du 15 au 18 mars 2018

    crise de couple,mieux communiquer dans son couple,relancer le désir dans le coupleVous êtes en couple et vous aimeriez :

    • améliorer votre communication?
    • remettre du jeu et du désir dans votre couple?
    • restaurer la confiance en vous et en votre partenaire?
    • mieux vous connaître et mieux comprendre le sens de votre relation?
    • avoir envie de vous investir différemment dans votre couple?
    • dépasser une crise, un conflit?
    • vous épanouir davantage dans cette relation?

    Si vous avez répondu OUI à l’une de ces questions, alors ce stage est fait pour vous ! Cliquez ci-après pour imprimer le flyer sur le site www.choisirdetresoi.com

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  • Conséquence d’un accouchement diffiicile pour l’enfant!

    Voilà une dernière étude de cas et cette série d’échanges touchent bientôt à sa fin.  C'est un moment de partage qui se fermera pour s'ouvrir, pour certain(e)s, sur une formidable aventure d'un an avec la formation aux constellations familiales que j’anime en Dordogne.  Je me réjouis déjà de vous accueillir personnellement dès mars 2017 :-).

    En parlant de ça, j'ai oublié de vous dire que la formation est accessible en 9 mensualités confortables. Pour celles et ceux dont le coeur vibre pour cette aventure, votre rêve est à 2 doigts de devenir réalité.

    Pour en savoir plus, cliquez ici programme de la formation

    Pour les autres, ce n'est pas encore fini ;-) !  Je vous offre une dernière étude de cas sur "Comment prendre sa juste place dans la vie lorsque la mère a failli mourir en donnant la vie ».

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  • Impact des fausses couches sur la fratrie

    Et oui, perdre un enfant avant sa naissance a des conséquences !

    J’espère que la première étude de cas sur dyslexie et l’immigration vous a plu. Voici une autre situation que j’aborde avec beaucoup d’empathie car il s’agit des fausses-couches. En général, l’enfant de la fausse-couche est attendu par ses parents. Il commence par conséquent à compter avant même de naître.

    Étude de cas express : l’importance des fausses-couches.

    Renée (prénom fictif) ne trouve pas sa place, ni au travail, ni dans sa fratrie. Plusieurs postes lui sont passés sous le nez et elle n’a pas su se mettre en avant pour se donner une chance d’évoluer. Elle se sent inutile, comme si elle n’avait pas le droit d’exister.

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  • Qu'est-ce que la psychogénéalogie?

    La psychogénéalogie rassemble tout ce qui a trait aux « vieilles histoires de famille » sur plusieurs générations : dates anniversaires, secrets, traumatismes familiaux, situations irrésolues, cachées, etc…

    Et là, les motivations sont variées voire contradictoires :

    • soit chercher à savoir quels secrets familiaux se cachent dans l’arbre ;
    • soit craindre d’exhumer un fantôme du placard ;
    • soit chercher à connaître l’histoire de sa famille, rassembler les éléments connus pour comprendre les éléments inconnus, manquants, occultés et permettre ainsi de se situer dans l’arbre familial ;
    • soit reconstituer, par curiosité, l’histoire passée sans faire de lien avec sa propre histoire de vie.

    La personne qui consulte a une démarche active puisqu’elle doit recueillir des informations sur ses ascendants, notamment en interrogeant les personnes encore en vie. Il convient toujours d’être prêt à accueillir ce qui peut émerger de l’étude de son arbre et d’aborder avec respect et discernement les situations vécues par nos ancêtres. Le travail en psychogénéalogie peut être émotionnellement bousculant d’où l’importance d’être accompagné dans un cadre thérapeutique sécurisant, permettant l’intégration de certaines découvertes conscientes, pourtant présentes au niveau inconscient.

    La psychogénéalogie doit beaucoup à Anne Ancelin Shützenberger et plus particulièrement à ses travaux sur le syndrome anniversaire, c’est-à-dire la répétition autour de dates d’évènements (de décès, d’anniversaires, de mariage..). Il s’agit de prendre en compte les informations généalogiques disponibles (métiers, niveau social, maladies, accidents, histoires sentimentales..) le passé et le passif familial, les histoires de famille. Cela permet de situer l’origine de difficultés, de blocages, de mal-être… à partir d’informations : prénoms, dates, et autres évènements importants de l’histoire de la famille.

    Cela permet d’aboutir à l’élaboration d’un génogramme, que j’appelle arbre généalogique « intelligent », qui intègre les éléments factuels de chaque membre de la famille. Il met rapidement en lumière les similitudes, reproductions, syndromes anniversaires, etc et permet de travailler sur la libération des loyautés familiales limitantes. Il permet aussi de tirer toute la force des atouts de son « arbre ».

  • L'avortement : une blessure de l'âme!

    L’avortement : une blessure de l’âme aux conséquences multiples (et souvent masquées).

    Les femmes et les jeunes filles aujourd’hui ont la chance d’avoir accès aux moyens de contraception. Toutefois, il arrive que des « accidents » arrivent et qu’un enfant non-désiré consciemment vienne se nicher dans la matrice de la femme.

    C’est alors que des choix sont à poser :

    • garder l’enfant et réorganiser sa vie autour de son arrivée. Ceci peut amener un couple, qui n’était pas encore installé ensemble, à vivre sous le même toit ou encore à faire de nouveaux choix (d’études, professionnels, financiers, etc.) ;

     

    • faire un avortement ou IVG. Ce choix n’est pas neutre. Même s’il est assumé par les 2 partenaires, c’est la femme qui le vit dans sa chair et c’est elle qui en porte le poids et qui souvent se le fait payer inconsciemment par des mécanismes d’expiation :
      • autosabotage inconscient au niveau du couple actuel (problèmes de sexualité, conflits, rupture) ou interdit de créer un nouveau couple
      • difficultés  professionnelles : projets qui « avortent »
      • difficultés à s’autoriser à profiter des enfants vivants ou à s’autoriser une nouvelle grossesse
      • dépression, maladie, accidents ou addictions problématiques pour la santé, traduisant une dynamique « je te suis », etc.

    Et tout cela,  même quand la décision a été bien vécue et accompagnée par le partenaire. Tout ceci est évidemment majoré quand la décision est imposée (par les parents, le partenaire, etc). Les questions qui se posent :

    • comment la femme se voit-elle ou se vit-elle ?
    • quel regard porte-t-elle sur l’homme ? et sur l’enfant ?
    • comment l’homme voit-il la femme ? et l’enfant ?

    Les émotions sont très présentes : culpabilité, colère contre l’homme, tristesse. Quand je place une constellation de ce type, je constate que la femme ne peut regarder l’enfant et que l’homme est souvent dans le déni. L’enfant avorté ne peut partir et reste accroché à sa mère. Il a besoin d’être regardé car il est exclu.

    La constellation familiale propose de mettre en place le triangle : mère – enfant – père, et de pacifier chaque binôme. Enfin, si le couple est encore ensemble, l’idée est que les 2 « parents » portent ensemble la décision et l’enfant avorté dans leur coeur. S’il y a d’autres enfants, l’important est qu’il ne porte pas la culpabilité pour les parents.