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  • Oser, c’est risqué !

    Rire, c'est risquer de paraître idiot.

    Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental.

    Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager.

    Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond.

    Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c'est risquer de les perdre.

    Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en en retour.

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  • Vivre c'est expérimenter !

    Avez-vous remarqué combien nous baignons dans un contexte qui invite à la peur, à la prise de risque zéro, au rétrécissement de l'être au profit d'un consumérisme, d'une recherche du plaisir immédiat et d'un nombrilisme stérile ?

    Au final, tout ceci amène à vivre petit, dans les apparences et dans la fermeture.

    Alors que notre Etre aspire à s'expanser, à relationner, à oser poser des actes qui le rapprochent de sa vérité fondamentale, à expérimenter pour avoir du retour, pour déterminer si cela contribue à son évolution ou pas.

    Alors osons vivre vraiment en expérimentant, plutôt que sur-vivre... Ceci contribue à restaurer l'estime de soi et la confiance en soi.

    A ce propos, il me revient un petit conte :

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  • Estime de soi, confiance en soi et acceptation de soi : une dynamique circulaire

    Estime de soi, confiance en soi, assertivité ou acceptation de soi : nous sommes parfois perdus dans des concepts proches qui recouvrent des aspects très différents.

    L'estime de soi est en effet liée au jugement positif ou négatif que je porte sur moi. Ce jugement se construit à partir de l'amour plus ou moins inconditionnel que j'ai reçu de mon environnement familial et éducatif et des modèles que j'ai adoptés. Plus mon "Idéal du moi", mon modèle, est parfait, plus l'écart entre ce que je suis et ce modèle est grand, plus mon estime de moi est défaillante. Bonne nouvelle : l'estime de soi peut se restaurer notamment en travaillant sur soi !

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  • Oser être soi au travail

    Jean-Jacques a 35 ans. C’est un excellent professionnel dans sa partie. Pourtant, à chaque fois qu’il se rend en réunion avec des personnes d’un niveau hiérarchique supérieur, il se sent en difficulté. Dès que le manager le conteste ou porte un jugement à l’emporte-pièce (si si ça arrive encore !), il perd ses moyens et se justifie longuement, ce qui lui vaut d’impatienter son interlocuteur et de se placer en situation d’infériorité.

    Depuis peu, il se rend compte que cette situation est récurrente. Dans le précédent poste aussi, il se faisait rabrouer et n’était pas reconnu à sa juste valeur.

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  • La double contrainte : si vous aimez, n'aimez pas

    Double contrainte, double lien, double entrave, double bind, double injonction, injonction paradoxale… Les expressions sont nombreuses pour qualifier des situations qui nous laissent souvent hagards et les bras ballants.

    Définition

    Issue des travaux de Grégory Bateson (1956) -qui posera les fondements des thérapies familiales et systémiques- la double contrainte désigne 2 messages ou 2 ordres contradictoires. On ne peut satisfaire l’un sans contrevenir au second. Ainsi, quelle que soit la réaction de celui qui les reçoit, il est forcément perdant.

    Pour l’illustrer, on cite souvent l’histoire de cette mère qui offre à son fils 2 cravates, l’une bleue, l’autre rouge. Pour recevoir sa mère quelque temps plus tard, le fils va mettre la cravate rouge ce qui lui vaudra d’entendre « Tu n’aimes pas la cravate bleue ! ». Le week-end suivant, pour lui faire plaisir, il met la cravate bleue et sa mère lui dit « Tu n’aimes donc pas la cravate rouge ! ». Il est donc toujours « perdant »

    La difficulté vient du fait que les messages antinomiques sont sur des plans différents : explicites et/ou implicites, verbaux et/ou non verbaux. Par exemple, un parent dit : « fais moi plaisir en étant brillant à l’école » mais le non verbal (ton, mimiques) indique que si l’enfant le dépasse, il en sera malheureux.

    On distingue la double contrainte de l’injonction paradoxale dans laquelle un seul ordre contient en lui-même sa propre contradiction. Exemple : « soyez spontané ! » car la spontanéité ne se décide pas, « Sois grand, mon petit » ou comme le propose A. Watzlawick « Ignorez ce panneau ».

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  • La crise du milieu de la vie (CMV) : l’entrée dans un processus de passage

    Crise de la quarantaine, démon de midi ou encore syndrome du « nid vide », telles sont les expressions usuelles qui recouvrent une réalité universelle, quoique encore insuffisamment reconnue, celle de la crise du milieu de la vie (CMV).

    Véritable crise existentielle –à la fois psychologique et spirituelle-, cette crise de croissance est considérée comme la 2ème crise d’identité après celle de l’adolescence, ce qui fait qu’on la nomme parfois crise de la «maturescence».

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